Analyse prospective sur les centres d’hébergement d’urgence
PRÉSENTATION DU PROJET
« Les centres d’hébergement d’urgence représentent environ 150 000 places et 3000 établissements répartis sur l’ensemble du territoire français. Lieux de solidarité, ils sont indispensables aux plus exclus. Pourtant, ces centres sont aujourd’hui invisibilisés et placés dans des zones urbaines peu accessibles. Par ailleurs, le manque de places, de moyens et de connaissance empêche leur développement.
Certains d’entre eux ont aujourd’hui décidé de se réinventer, à l’image des Cinq Toits dans le 16e arrondissement, en devenant des lieux d’apprentissage, d’expérimentation, et surtout de rencontre. Cette vaste étude aura pour ambition de devenir un outil pratique et politique de communication et d’échange à l’usage des acteurs de l’hébergement, des décideurs publics, des propriétaires fonciers et du grand public. Nous voulons recenser, cartographier et étudier les lieux existants afin de leur offrir de nouvelles perspectives, en développant des outils de communication et de diffusion, et en apportant des solutions architecturales. Cette recherche, sociologique et spatiale, se veut également un outil de transformation d’espaces vacants.
A+1, atelier à la croisée de l’architecture et de la recherche, est accompagné de l’association Aurore, créée en 1871, et qui héberge, soigne et accompagne près de 40 000 personnes en situation de précarité ou d’exclusion vers une insertion sociale et professionnelle. Nous avons tissé des liens étroits, et travaillons ensemble sur différents projets, afin de créer des lieux qui se veulent des laboratoires sociaux, des espaces de liens et de ressources. Ainsi, nous souhaitons donner à voir et à comprendre un sujet méconnu et néanmoins central dans la fabrication de la ville de demain, que nous souhaitons solidaire et inclusive. »
« Les centres d’hébergement d’urgence représentent environ 150 000 places et 3000 établissements répartis sur l’ensemble du territoire français. Lieux de solidarité, ils sont indispensables aux plus exclus. Pourtant, ces centres sont aujourd’hui invisibilisés et placés dans des zones urbaines peu accessibles. Par ailleurs, le manque de places, de moyens et de connaissance empêche leur développement.
Certains d’entre eux ont aujourd’hui décidé de se réinventer, à l’image des Cinq Toits dans le 16e arrondissement, en devenant des lieux d’apprentissage, d’expérimentation, et surtout de rencontre. Cette vaste étude aura pour ambition de devenir un outil pratique et politique de communication et d’échange à l’usage des acteurs de l’hébergement, des décideurs publics, des propriétaires fonciers et du grand public. Nous voulons recenser, cartographier et étudier les lieux existants afin de leur offrir de nouvelles perspectives, en développant des outils de communication et de diffusion, et en apportant des solutions architecturales. Cette recherche, sociologique et spatiale, se veut également un outil de transformation d’espaces vacants.
A+1, atelier à la croisée de l’architecture et de la recherche, est accompagné de l’association Aurore, créée en 1871, et qui héberge, soigne et accompagne près de 40 000 personnes en situation de précarité ou d’exclusion vers une insertion sociale et professionnelle. Nous avons tissé des liens étroits, et travaillons ensemble sur différents projets, afin de créer des lieux qui se veulent des laboratoires sociaux, des espaces de liens et de ressources. Ainsi, nous souhaitons donner à voir et à comprendre un sujet méconnu et néanmoins central dans la fabrication de la ville de demain, que nous souhaitons solidaire et inclusive. »
L'ÉQUIPE
Atelier +1, César Bazin, Octave Giaume et Inès Winckler et Aurore, William Dufourcq
À la croisée de l’architecture, du design, de l’urbanisme et de la recherche, Atelier +1 est né du besoin de mettre en commun des outils, des savoirs, des savoir-faire, des réseaux de collaborateurs et des méthodologies de travail. L’approche architecturale de l’atelier n’est pas formelle mais met le process de fabrication du projet au centre de sa réflexion.
Créée en 1871, l’association Aurore héberge, soigne et accompagne plus de 37 000 personnes en situation de précarité ou d’exclusion vers une insertion sociale et professionnelle. Organisées autour de trois missions, hébergement, soin et insertion, ses activités sont multiples : maraudes, accueil, hébergement, activités de réinsertion sociale et professionnelle.
Atelier +1, César Bazin, Octave Giaume et Inès Winckler et Aurore, William Dufourcq
À la croisée de l’architecture, du design, de l’urbanisme et de la recherche, Atelier +1 est né du besoin de mettre en commun des outils, des savoirs, des savoir-faire, des réseaux de collaborateurs et des méthodologies de travail. L’approche architecturale de l’atelier n’est pas formelle mais met le process de fabrication du projet au centre de sa réflexion.
Créée en 1871, l’association Aurore héberge, soigne et accompagne plus de 37 000 personnes en situation de précarité ou d’exclusion vers une insertion sociale et professionnelle. Organisées autour de trois missions, hébergement, soin et insertion, ses activités sont multiples : maraudes, accueil, hébergement, activités de réinsertion sociale et professionnelle.